1 août 2018
Gros Jean comme devant.
Les facéties de Pierre
Gros-Jean comme devant, combien s’en trouvent aise, ne comprenant cette expression ils n’éprouvent malaise. D’être considérés stupides il faut le dire, au point de ne comprendre tout ce qu’on veut leur dire. Force est de constater à mon très grand regret, qu’il en est bien ainsi de mes contemporains dont si peu peuvent croire à ces mauvais desseins de tous ceux qui hélas jouent avec le destin. Pareils à ces autruches ils ne veulent y croire, ils vivent dans leurs ruches avec de faux espoirs, on a beau leur montrer où sont les vrais périls, ils préfèrent jouer à leurs jeux puérils. Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle casse, ils sont comme des bûches d’une ignorance crasse, quoiqu’ils puissent espérer ils ne résisteront aux milles catastrophes quand elles arriveront. Du passé on le dit faut faire table rase, ils s’y emploient fort bien à ce qu’elle les écrase, par cet aveuglement auxquels ils semblent tenir, tous leurs emballements effacent l’avenir.
Pierre-Jean BOUTET
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